car j’ai décidé
de vous croire,
instants de silence.
Maintenant je n’ai plus
besoin d’ailes.
Dans ma poitrine chantent
tous les oiseaux.
Mais quand il n’y a pas
d’oiseau en moi
ni d’oiseau au ciel
qui lui sourit,
mes ténèbres restent
cloués au plafond
et nulle part il n’y a
une main pour dénouer
de mon coeur
le noeud invisible.
Je me tourmente en silence
et je ne veux pas me dire
que je suis l’être raisonnable
le plus misérable
capable d’aimer seulement
quand il est piétiné.
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